1793. « L’Ami du Peuple » dispose comme bon lui semble de la vie des « mauvais » citoyens français. Depuis sa baignoire, il fait tomber de nombreuses têtes de manière arbitraire. Dans ce contexte de délation, il est facile de mourir même pour Marat – bien qu’il ne sorte plus de chez lui – car certains « citoyens » souhaitent sa mort. Lire la suite de « Le dernier bain, Gwenaële Robert »